The Legend of Zelda: Skyward Sword
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The Legend of Zelda: Skyward Sword
Ven 17 Fév - 23:23
The Legend of Zelda: Skyward Sword
Le résumé
En route pour une quête épique et dramatique, dans ce dernier épisode très immersif vous devrez séduire une actrice collecter religieusement des artefacts nécessaires à la résolution d'énigmatiques enigmes et faire jouir une moisson de cubes célestes sans grand charisme
Toute proportion gardée avec l’exigence d’une concurrence qui saurait plus tirer partie d’une certaine maturité propre à celui qui guide le protagoniste en termes de gestion d’inventaire au travers d’une quête épique et dramatique, je ne saurai que qualifier le dernier épisode d’une "saga" ô combien séculaire de… gracieuse enluminure !
Certes cette dernière aventure sonnant aisément le glas d’un support souvent vilipendé avec véhémence par un public au doux sobriquet de "PGM" (cette oxymore s’il est donné de l’être sur ceux de salon) n’est pas des plus au faîte de la présente technologie (surtout au vu de la "récente" explosion d’écrans haute définition). Mais c’est bien autour de ces carences technologiques, de ce fait graphiques, ainsi que par un contrôle hors du commun qui n’aurait jamais du être omis à la première heure de conception je vous l’accorde - j’ai nommé "Motion plus" - que l’on retrouve une nouvelle fois l’habileté de la firme nippone en un exercice dans une certaine mesure sommaire mais bien immersif si tant est que vous vous donniez la peine de plonger dans cette… Nième épisode à la trame bien classique mais toujours aussi rafraichissant et motivé par une renaissance de ses protagonistes au fil des Tomes.
Les subterfuges artistiques à la limite outrancière de la machine ne duperont personne. Mais ceux-ci se trouvent si bien fondu à l’aventure ainsi dépeinte que l’on pardonne la "vieille dame" en se laissant guider par la main au plus profond du récit ainsi conté. La magie opérant dès les premiers instants, on apprécie les tons pastelles mêlés à un flou maîtrisé à la mesure d’une toile impressionniste peignant le décor d’un semblant non voilé d’un "Twilight princess", "Wind Waker" ou autre "Ocarina of Time".
Parcourant les "méandres" de l’intrigue, s’il en est une, grandissant dans son expérience et collectant religieusement les artefacts nécessaires à la résolution des énigmes à mesure que le manque de la disparue se fait de plus en plus pressant, nous trouvons tout de même la liberté de suivre les quelques chemins de travers disséminés, peut-être vulgairement, ici et là à l’attention des exigences des plus investi et désireux de clore une aventure sans omettre le détail. Ainsi la moisson de cubes célestes reste un sujet accaparant même si, comme trop souvent dans ce volet, une aide finie par poindre et peut être gâcher le challenge que l’on s’était fixé avant l’apparition d’un artifice (assimilable à un radar à la première personne) dédié à cet objectif. Ce dernier n’est pas seul à ne pouvoir s’exempter de reproche alors que se manifeste dès les premiers instants une "pierre à potins" bien (trop) loquace sur la résolution d’évènements pouvant entraver la progression… Ce justifié pour les moins habiles et obstinés. Autre point émergent et discutable sur lequel nous pourrions pointer le doigt détracteur de notre lecture, reste la présence de l’actrice (voir artifice) de second rôle sans grand charisme, devenue rituelle de la série, prenant part, à sa manière, au fardeau de notre héro qui ne sait dispenser que de trop grandes évidences.
En somme, outre le classique "mode héroïque" (après avoir fini une première fois le jeu), les seules épreuves destinées au plus méritant resteront bien celles des petites originalités présentes dans le dessin d’agrémenter le voyage de quelques touches… versatiles si justement nommées "mini jeux". Ainsi, la dernière méritant l’attention de l’opiniâtreté sera en celle de l’une des trois (voir quatre) créatures de légende qui demandera une… fugace assiduité. Ce même si ladite épreuve rappelle que les icônes de fin de donjon ne sont parfois que de piètre mais, pour la majorité, charismatiques pantins.
Malgré quelques travers présents pour assurer au joueurs de moindre expérience de mener à bien cette épique et "prolixe" aventure, il n’en reste pas moins une touchante poésie qui ne demande qu’à être honorée avec vaillance.
En un mot finissant, force est de constater que ce précurseur de vingt cinq ans a su conserver et renouveler l’intérêt pour ainsi guider bon nombre de représentants contemporains à fortes aura (Assassin’s creed, Prince of Persia, Darksiders, Uncharted…) en les dédales de la chronique aventureuse à la troisième personne pour ainsi entrer de nouveau dans le panthéon de votre salon.
Le résumé
En route pour une quête épique et dramatique, dans ce dernier épisode très immersif vous devrez séduire une actrice collecter religieusement des artefacts nécessaires à la résolution d'énigmatiques enigmes et faire jouir une moisson de cubes célestes sans grand charisme
Toute proportion gardée avec l’exigence d’une concurrence qui saurait plus tirer partie d’une certaine maturité propre à celui qui guide le protagoniste en termes de gestion d’inventaire au travers d’une quête épique et dramatique, je ne saurai que qualifier le dernier épisode d’une "saga" ô combien séculaire de… gracieuse enluminure !
Certes cette dernière aventure sonnant aisément le glas d’un support souvent vilipendé avec véhémence par un public au doux sobriquet de "PGM" (cette oxymore s’il est donné de l’être sur ceux de salon) n’est pas des plus au faîte de la présente technologie (surtout au vu de la "récente" explosion d’écrans haute définition). Mais c’est bien autour de ces carences technologiques, de ce fait graphiques, ainsi que par un contrôle hors du commun qui n’aurait jamais du être omis à la première heure de conception je vous l’accorde - j’ai nommé "Motion plus" - que l’on retrouve une nouvelle fois l’habileté de la firme nippone en un exercice dans une certaine mesure sommaire mais bien immersif si tant est que vous vous donniez la peine de plonger dans cette… Nième épisode à la trame bien classique mais toujours aussi rafraichissant et motivé par une renaissance de ses protagonistes au fil des Tomes.
Les subterfuges artistiques à la limite outrancière de la machine ne duperont personne. Mais ceux-ci se trouvent si bien fondu à l’aventure ainsi dépeinte que l’on pardonne la "vieille dame" en se laissant guider par la main au plus profond du récit ainsi conté. La magie opérant dès les premiers instants, on apprécie les tons pastelles mêlés à un flou maîtrisé à la mesure d’une toile impressionniste peignant le décor d’un semblant non voilé d’un "Twilight princess", "Wind Waker" ou autre "Ocarina of Time".
Parcourant les "méandres" de l’intrigue, s’il en est une, grandissant dans son expérience et collectant religieusement les artefacts nécessaires à la résolution des énigmes à mesure que le manque de la disparue se fait de plus en plus pressant, nous trouvons tout de même la liberté de suivre les quelques chemins de travers disséminés, peut-être vulgairement, ici et là à l’attention des exigences des plus investi et désireux de clore une aventure sans omettre le détail. Ainsi la moisson de cubes célestes reste un sujet accaparant même si, comme trop souvent dans ce volet, une aide finie par poindre et peut être gâcher le challenge que l’on s’était fixé avant l’apparition d’un artifice (assimilable à un radar à la première personne) dédié à cet objectif. Ce dernier n’est pas seul à ne pouvoir s’exempter de reproche alors que se manifeste dès les premiers instants une "pierre à potins" bien (trop) loquace sur la résolution d’évènements pouvant entraver la progression… Ce justifié pour les moins habiles et obstinés. Autre point émergent et discutable sur lequel nous pourrions pointer le doigt détracteur de notre lecture, reste la présence de l’actrice (voir artifice) de second rôle sans grand charisme, devenue rituelle de la série, prenant part, à sa manière, au fardeau de notre héro qui ne sait dispenser que de trop grandes évidences.
En somme, outre le classique "mode héroïque" (après avoir fini une première fois le jeu), les seules épreuves destinées au plus méritant resteront bien celles des petites originalités présentes dans le dessin d’agrémenter le voyage de quelques touches… versatiles si justement nommées "mini jeux". Ainsi, la dernière méritant l’attention de l’opiniâtreté sera en celle de l’une des trois (voir quatre) créatures de légende qui demandera une… fugace assiduité. Ce même si ladite épreuve rappelle que les icônes de fin de donjon ne sont parfois que de piètre mais, pour la majorité, charismatiques pantins.
Malgré quelques travers présents pour assurer au joueurs de moindre expérience de mener à bien cette épique et "prolixe" aventure, il n’en reste pas moins une touchante poésie qui ne demande qu’à être honorée avec vaillance.
En un mot finissant, force est de constater que ce précurseur de vingt cinq ans a su conserver et renouveler l’intérêt pour ainsi guider bon nombre de représentants contemporains à fortes aura (Assassin’s creed, Prince of Persia, Darksiders, Uncharted…) en les dédales de la chronique aventureuse à la troisième personne pour ainsi entrer de nouveau dans le panthéon de votre salon.
Re: The Legend of Zelda: Skyward Sword
Lun 20 Fév - 1:43
J'ai fini le jeu il y a quelques semaines.
Il m'a laissé une moins bonne impression que Twilight Princess. J'ai moins accroché a l'histoire. Malgré ça c'est un très très bon jeu qui permet d'en apprendre un peu plus sur l'univers de Zelda.
Niveau graphisme, il est certes très beau pour la Wii, mais quand on à l'habitude de jeux en HD on peine un peu au début. (surtout quand on le vois tourner sur émulateur en 1080p)
Sinon j'ai été agréablement surpris de la maniabilité du Wii-Motion Plus.
Il m'a laissé une moins bonne impression que Twilight Princess. J'ai moins accroché a l'histoire. Malgré ça c'est un très très bon jeu qui permet d'en apprendre un peu plus sur l'univers de Zelda.
Niveau graphisme, il est certes très beau pour la Wii, mais quand on à l'habitude de jeux en HD on peine un peu au début. (surtout quand on le vois tourner sur émulateur en 1080p)
Sinon j'ai été agréablement surpris de la maniabilité du Wii-Motion Plus.
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